Moore, encore sous le choc des découvertes récentes faites dans l’un des hangars à avion du camp de Lake, saisit le paquet tendu par Johann Meyer et se rend dans sa tente. Il demande à ne pas être dérangé durant les heures qui viennent.
Catégorie : Jeux de Rôles
Le passager descendu du trimoteur répond au nom de Johann Meyer, et à son arrivée il remercie au cours d’un court discours les deux expéditions pour leur accueil et explique qu’ils sont venus avec du matériel supplémentaire afin d’aider les expéditions américaines à avancer dans le déblaiement du camp de Lake.
La nouvelle foreuse de Pabody, installée par les techniciens de forage de l’expédition Starkweather-Moore (O’Doul et Gilmore) a permis d’ouvrir la grotte de Lake, celle-là même qui renfermait les « choses très anciennes ». Une délégation formée de membres de l’expédition Starkweather Moore et de l’expédition Lexington, se retrouve alors au pied du trou formé par la foreuse.
Alors qu’une partie de l’équipe s’occupe de finaliser le camp de base, John Hammond propose à l’équipe de se préparer à explorer les restes du camp de Lake.
À leur arrivée au camp de l’expédition Acacia Lexington, l’équipe de Starkweather découvre un paysage de désolation.
Alors que la Gabrielle pénètre dans la banquise qui longe la barrière de Ross, Starkweather rejoint les curieux qui admirent ce paysage nouveau et annonce fièrement que l’expédition jettera l’ancre ici. Le paysage est somptueux qui voit le Mont Erebus s’élever sur la gauche de l’équipe.
La SS Gabrielle prend la mer le 18 octobre 1933 et quitte Melbourne. Les badots sont là pour saluer le départ de l’expédition. La mer est relativement calme mais le ciel et gris et les nuages sont nombreux.
La découverte d’Oakwood et Knock est assez vite partagée avec le reste des membres chargés des fouilles (dont Boyle qui a été mis au courant par Hammond).
La découverte de l’acide dans la radio n’a fait que conforter Andrews dans sa volonté d’organiser une petite réception avec équipage et expédition afin de compenser un peu la morosité ambiante.
Une équipe menée par Starkweather, Turlow, Mayer, Potter et Boyle, s’engouffre assez vite dans la cale donnant accès la chambre froide. Les vapeurs d’ammoniaque sont tellement fortes que tous doivent se protéger les voies respiratoires.